Titre : | Incidence des fractures de l’extrémité proximale du fémur chez les personnes âgées >65ans à l’EPH de LAGHOUAT durant la période 2019-2020 | Type de document : | texte manuscrit | Auteurs : | Abderrahim Hourier, Présentateur ; Bachir Lekahal, Présentateur ; Adel Lahreche, Présentateur | Editeur : | Laghouat : Université Amar Telidji - Département de médecine | Année de publication : | 2020/2021 | Importance : | 1 vol. (152 p.) | Présentation : | ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 21/29 cm | Accompagnement : | 1 disque optique numérique (CD-ROM) | Langues : | Français | Catégories : | MEDECINE ; THESES
| Mots-clés : | Incidence des fractures de l’extrémité proximale du fémur chez les personnes âgées >65ans à l’EPH de LAGHOUAT durant la période 2019-2020 | Résumé : | Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur constituent un véritable problème de santé publique, car leur incidence ne cesse de croître, elles ont des conséquences lourdes. En effet, elles mettent en jeu le pronostic vital et fonctionnel chez les personnes âgées.
Notre travail porte sur une série de 74 cas de fracture de l’EPF chez des sujets âgés plus de 65 ans colligés au service d’orthopédie et traumatologie au niveau de l’EPH de LAGHOUAT, sur une période de 2 ans allant de Janvier 2019 à Décembre 2020. Le but de ce travail est d’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques, évolutifs et préventifs des fractures de l’EPF.
Notre étude rétrospective nous a permis de rapporter 74 cas de fracture de l’EPF. Une incidence de 37 cas par an a été retrouvée. Les femmes ont été les plus atteintes (57%) avec un sex-ratio de 1.3 en faveur des femmes. L’âge moyen de nos patients était de 81.7 ans avec des extrêmes de 65 et 103 ans. La tranche d’âge de 75-84 ans étant la plus représentée avec 36 cas soit 48.65% des cas étudiés. Nos résultats ont retrouvé une prédominance des fractures trochantériennes avec un pourcentage de 55.5%, alors que les fractures cervicales représentaient 41.8%. La fracture du col fémoral type Garden IV est la plus observée : 56.09%. La fracture Per-trochantérienne simple (classification de RAMADIER modifiée par DECOULX et LAVARDE) était la plus fréquente (48.78%) dans les fractures trochantériennes. L’étiologie principale était les chutes banales avec 59 cas soit 79.72% des patients étudiés. La mortalité globale de la série a été de 4.05 %.
A la fin de notre travail, on a discuté les nouvelles perspectives de prévention afin d’agir sur l’incidence de ces fractures. |
Incidence des fractures de l’extrémité proximale du fémur chez les personnes âgées >65ans à l’EPH de LAGHOUAT durant la période 2019-2020 [texte manuscrit] / Abderrahim Hourier, Présentateur ; Bachir Lekahal, Présentateur ; Adel Lahreche, Présentateur . - Laghouat : Université Amar Telidji - Département de médecine, 2020/2021 . - 1 vol. (152 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21/29 cm + 1 disque optique numérique (CD-ROM). Langues : Français Catégories : | MEDECINE ; THESES
| Mots-clés : | Incidence des fractures de l’extrémité proximale du fémur chez les personnes âgées >65ans à l’EPH de LAGHOUAT durant la période 2019-2020 | Résumé : | Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur constituent un véritable problème de santé publique, car leur incidence ne cesse de croître, elles ont des conséquences lourdes. En effet, elles mettent en jeu le pronostic vital et fonctionnel chez les personnes âgées.
Notre travail porte sur une série de 74 cas de fracture de l’EPF chez des sujets âgés plus de 65 ans colligés au service d’orthopédie et traumatologie au niveau de l’EPH de LAGHOUAT, sur une période de 2 ans allant de Janvier 2019 à Décembre 2020. Le but de ce travail est d’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques, évolutifs et préventifs des fractures de l’EPF.
Notre étude rétrospective nous a permis de rapporter 74 cas de fracture de l’EPF. Une incidence de 37 cas par an a été retrouvée. Les femmes ont été les plus atteintes (57%) avec un sex-ratio de 1.3 en faveur des femmes. L’âge moyen de nos patients était de 81.7 ans avec des extrêmes de 65 et 103 ans. La tranche d’âge de 75-84 ans étant la plus représentée avec 36 cas soit 48.65% des cas étudiés. Nos résultats ont retrouvé une prédominance des fractures trochantériennes avec un pourcentage de 55.5%, alors que les fractures cervicales représentaient 41.8%. La fracture du col fémoral type Garden IV est la plus observée : 56.09%. La fracture Per-trochantérienne simple (classification de RAMADIER modifiée par DECOULX et LAVARDE) était la plus fréquente (48.78%) dans les fractures trochantériennes. L’étiologie principale était les chutes banales avec 59 cas soit 79.72% des patients étudiés. La mortalité globale de la série a été de 4.05 %.
A la fin de notre travail, on a discuté les nouvelles perspectives de prévention afin d’agir sur l’incidence de ces fractures. |
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