Titre :	Les théories de la firme
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Gilbert Koenig, Auteur
Mention d'édition :	2éd.
Editeur :	Paris : Économica
Année de publication :	1998
Collection :	Gestion poche
Importance :	112 p.
Présentation :	ill.
Format :	20 cm.
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-7178-3677-6
Note générale :	Bibliogr. p. 107-109
Langues :	Français
Catégories :	ECONOMIE:330.0 generalité en economie (dictionnaires ,encyclopedies)
Mots-clés :	Économie d'entreprise Voir les notices liées en tant que sujet.
Résumé :	Cet ouvrage présente les principales théories de la firme utilisées dans les travaux contemporains d'analyse économique et de gestion : théorie néo-classique et systématique, théories du management et du comportement, théorie néo-institutionnelle des coûts de transactions. Le développement de ces théories est dû : aux approfondissements de l'analyse des comportements qui justifient l'existence d'autres objectifs à maximiser que le profit et qui proposent comme alternatives aux principes de rationalité substantielle et d'optimisation ceux de rationalité procédurale et de satisfaction ; aux réflexions sur les modalités d'organisation et de coordination de l'activité qui conduisent à concevoir l'entreprise comme organisation à objectifs et à décideurs multiples, comme réseau de contrats spécifiques, comme structure organisationnelle ou comme système.

Les théories de la firme [texte imprimé] / Gilbert Koenig, Auteur  . -  2éd. . - Paris : Économica, 1998 . - 112 p. : ill. ; 20 cm.. - (Gestion poche) .
ISBN : 978-2-7178-3677-6
Bibliogr. p. 107-109
Langues : Français

Catégories :	ECONOMIE:330.0 generalité en economie (dictionnaires ,encyclopedies)
Mots-clés :	Économie d'entreprise Voir les notices liées en tant que sujet.
Résumé :	Cet ouvrage présente les principales théories de la firme utilisées dans les travaux contemporains d'analyse économique et de gestion : théorie néo-classique et systématique, théories du management et du comportement, théorie néo-institutionnelle des coûts de transactions. Le développement de ces théories est dû : aux approfondissements de l'analyse des comportements qui justifient l'existence d'autres objectifs à maximiser que le profit et qui proposent comme alternatives aux principes de rationalité substantielle et d'optimisation ceux de rationalité procédurale et de satisfaction ; aux réflexions sur les modalités d'organisation et de coordination de l'activité qui conduisent à concevoir l'entreprise comme organisation à objectifs et à décideurs multiples, comme réseau de contrats spécifiques, comme structure organisationnelle ou comme système.