Titre : | Clefs pour la linguistique | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Mounin, Auteur | Editeur : | Paris : Editions 10/18 | Année de publication : | 2000 | Collection : | Bibliothèques num. 3212 | Importance : | 171 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-264-03070-2 | Langues : | Français | Catégories : | LITERATURE ET LANGUE FRANCAISE:448 Linguistiques
| Mots-clés : | Linguistique | Résumé : | Ce texte de 1968 n'est pas une initiation à la linguistique. Il se définit lui-même comme un préambule à toute initiation. Pour autant, malgré la complexité du sujet, l'auteur ne renonce ni à la rigueur, ni à une forme personnelle d'exigence théorique. Pour en donner un exemple, on peut mentionner le fait que l'introduction est en grande partie consacrée à établir la liste des ouvrages qu'il "ne faut pas" lire. En tant qu'oeuvre de vulgarisation, il fait un usage modéré du vocabulaire spécialisé, préférant exposer en termes courants l'histoire, les méthodes et les enjeux de cette "science très jeune" qui vient d'un "savoir très ancien". Au passage, il s'attache à clarifier certaines notions, qui, utilisées de façon plus ou moins adroite par d'autres disciplines, ont longtemps entraîné une certaine confusion. Au premier rang vient le terme même de langage, auquel un chapitre entier est consacré. |
Clefs pour la linguistique [texte imprimé] / Georges Mounin, Auteur . - Paris : Editions 10/18, 2000 . - 171 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Bibliothèques; 3212) . ISBN : 978-2-264-03070-2 Langues : Français Catégories : | LITERATURE ET LANGUE FRANCAISE:448 Linguistiques
| Mots-clés : | Linguistique | Résumé : | Ce texte de 1968 n'est pas une initiation à la linguistique. Il se définit lui-même comme un préambule à toute initiation. Pour autant, malgré la complexité du sujet, l'auteur ne renonce ni à la rigueur, ni à une forme personnelle d'exigence théorique. Pour en donner un exemple, on peut mentionner le fait que l'introduction est en grande partie consacrée à établir la liste des ouvrages qu'il "ne faut pas" lire. En tant qu'oeuvre de vulgarisation, il fait un usage modéré du vocabulaire spécialisé, préférant exposer en termes courants l'histoire, les méthodes et les enjeux de cette "science très jeune" qui vient d'un "savoir très ancien". Au passage, il s'attache à clarifier certaines notions, qui, utilisées de façon plus ou moins adroite par d'autres disciplines, ont longtemps entraîné une certaine confusion. Au premier rang vient le terme même de langage, auquel un chapitre entier est consacré. |
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