Catalogue des ouvrages Université de Laghouat
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L'infini au carrefour de la philosophie et des mathématiques / Jacqueline Guichard
Titre : L'infini au carrefour de la philosophie et des mathématiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Guichard, Auteur Editeur : Paris [France] : Ellipses Année de publication : 2000 Collection : IREM-histoire des mathématiques Importance : 208p. Présentation : Couv. ill. en coul. Format : 24cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-7987-7 Langues : Français Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Infini Mathématiques Philosophie Résumé : Carrefour : point de rencontre de chemins venus d'ailleurs. Chemins des démarches philosophiques... Chemins des démarches mathématiques... Lesquels ont rencontré les premiers la question de l'infini ? Et si les " choses " n'étaient pas ainsi séparables... ? Le retour à l'Antiquité grecque où les mathématiques se sont constituées en science démonstrative nous donne à penser la conception des mathématiques, de la réalité et de leurs rapports - la métaphysique - qui les a nourries et qui se trouve remise en question par le travail mathématique lui-même. C'est le problème de la composition du continu et du statut de l'infini qui se trouve mis en avant, et qui trouve une première solution en mathématiques et en philosophie, - avec ce qu'il est habituel d'appeler l'éviction de l'infini chez les Grecs, exprimée par un concept négatif de l'infini, le non fini : incomplet, inachevé imparfait. C'est dans la métaphysique du Moyen Age, à la charnière des débats théologiques sur l'infinité de Dieu et celle du Monde, que s'élaborent les conditions d'un concept positif de l'infini dont les déterminations s'explicitent dans les grandes métaphysiques de l'Age classique : celle de Descartes, de Spinoza et de Leibniz, en même temps que se développe l'utilisation infinitiste des procédés de quadrature hérités des Grecs. Et la grande invention du XVIIe siècle, le " calcul de l'infini " est le fait de ce métaphysicien mathématicien qu'est Leibniz, - qui avait pour projet une " Scientia infinita " et qui écrivait au Marquis de l'Hospital : " ma métaphysique est toute mathématique ". Mais quelles que soient les avancées des pratiques opératoires et les discussions mathématiques, à faut attendre la fin du XIXe siècle pour qu'un concept mathématique de l'infini soit construit. Fin des rencontres philosophie - mathématiques ? Ou l'intégration de l'héritage et nouveaux chemins... ? L'infini au carrefour de la philosophie et des mathématiques [texte imprimé] / Jacqueline Guichard, Auteur . - Paris (France) : Ellipses, 2000 . - 208p. : Couv. ill. en coul. ; 24cm.. - (IREM-histoire des mathématiques) .
ISBN : 978-2-7298-7987-7
Langues : Français
Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Infini Mathématiques Philosophie Résumé : Carrefour : point de rencontre de chemins venus d'ailleurs. Chemins des démarches philosophiques... Chemins des démarches mathématiques... Lesquels ont rencontré les premiers la question de l'infini ? Et si les " choses " n'étaient pas ainsi séparables... ? Le retour à l'Antiquité grecque où les mathématiques se sont constituées en science démonstrative nous donne à penser la conception des mathématiques, de la réalité et de leurs rapports - la métaphysique - qui les a nourries et qui se trouve remise en question par le travail mathématique lui-même. C'est le problème de la composition du continu et du statut de l'infini qui se trouve mis en avant, et qui trouve une première solution en mathématiques et en philosophie, - avec ce qu'il est habituel d'appeler l'éviction de l'infini chez les Grecs, exprimée par un concept négatif de l'infini, le non fini : incomplet, inachevé imparfait. C'est dans la métaphysique du Moyen Age, à la charnière des débats théologiques sur l'infinité de Dieu et celle du Monde, que s'élaborent les conditions d'un concept positif de l'infini dont les déterminations s'explicitent dans les grandes métaphysiques de l'Age classique : celle de Descartes, de Spinoza et de Leibniz, en même temps que se développe l'utilisation infinitiste des procédés de quadrature hérités des Grecs. Et la grande invention du XVIIe siècle, le " calcul de l'infini " est le fait de ce métaphysicien mathématicien qu'est Leibniz, - qui avait pour projet une " Scientia infinita " et qui écrivait au Marquis de l'Hospital : " ma métaphysique est toute mathématique ". Mais quelles que soient les avancées des pratiques opératoires et les discussions mathématiques, à faut attendre la fin du XIXe siècle pour qu'un concept mathématique de l'infini soit construit. Fin des rencontres philosophie - mathématiques ? Ou l'intégration de l'héritage et nouveaux chemins... ? Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 510.256-1 510.256-1 Livre interne BIBLIOTHEQUE CENTRALE Mathématique (bc) Disponible Les mathématiques et le réel / Maurice Thirion
Titre : Les mathématiques et le réel Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Thirion, Auteur Editeur : Paris [France] : Ellipses Année de publication : 1999 Collection : IREM-histoire des mathématiques Importance : 413p. Présentation : Couv. ill. en coul. Format : 24cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-9973-8 Langues : Français Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Mathématiques-Philosophie Mathématiques-Histoire Résumé : ABSTRAITES, les mathématiques semblent loin du monde et du réel. Abstraites mais loin d'être transparentes. Ni les mathématiciens eux-mêmes, ni les philosophes ne s'accordent sur leur objet ou leur mystérieuse puissance pour dévoiler les structures du monde. Tous ceux justement qui s'en sont servi pour nous représenter l'univers, Ptolémée, Galilée, Kepler, Newton ou Einstein ont dû réfléchir sur leur nature. Tous leurs textes témoignent que la question de l'essence du mathématique, reliée de façon complètement nécessaire à celle de la raison de son efficacité, est le fil rouge de la pensée scientifique et philosophique depuis 2500 ans. Cela revient à repenser et notre connaissance et notre rapport au monde. Des philosophes instruits aux mathématiques de leur temps comme le furent Lautman et Cavaillès ont été conduits par des analyses rigoureuses à une attitude métaphysique, celle que Platon avait choisie, ou d'une autre façon Spinoza, celle d'un réalisme des essences ou de l'enchaînement des théories. Cette enquête, menée à divers niveaux, naïf, historique, épistémologique et métaphysique, s'efforce à la clarté, en délimitant les enjeux dans ces différents champs de signification, évitant les ambiguïtés sans cacher certaines interrogations en suspens. Il reste que tous ceux qui, à travers les siècles ont conduit cette inévitable méditation sur les mathématiques, sur leur nature et leur efficacité, c'est-à-dire sur nous-mêmes et le monde dont nous sommes parties prenantes, avaient le vif sentiment de s'approcher du réel et en ont éprouvé de la joie, ce qui est la fin de la philosophie. Les mathématiques et le réel [texte imprimé] / Maurice Thirion, Auteur . - Paris (France) : Ellipses, 1999 . - 413p. : Couv. ill. en coul. ; 24cm.. - (IREM-histoire des mathématiques) .
ISBN : 978-2-7298-9973-8
Langues : Français
Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Mathématiques-Philosophie Mathématiques-Histoire Résumé : ABSTRAITES, les mathématiques semblent loin du monde et du réel. Abstraites mais loin d'être transparentes. Ni les mathématiciens eux-mêmes, ni les philosophes ne s'accordent sur leur objet ou leur mystérieuse puissance pour dévoiler les structures du monde. Tous ceux justement qui s'en sont servi pour nous représenter l'univers, Ptolémée, Galilée, Kepler, Newton ou Einstein ont dû réfléchir sur leur nature. Tous leurs textes témoignent que la question de l'essence du mathématique, reliée de façon complètement nécessaire à celle de la raison de son efficacité, est le fil rouge de la pensée scientifique et philosophique depuis 2500 ans. Cela revient à repenser et notre connaissance et notre rapport au monde. Des philosophes instruits aux mathématiques de leur temps comme le furent Lautman et Cavaillès ont été conduits par des analyses rigoureuses à une attitude métaphysique, celle que Platon avait choisie, ou d'une autre façon Spinoza, celle d'un réalisme des essences ou de l'enchaînement des théories. Cette enquête, menée à divers niveaux, naïf, historique, épistémologique et métaphysique, s'efforce à la clarté, en délimitant les enjeux dans ces différents champs de signification, évitant les ambiguïtés sans cacher certaines interrogations en suspens. Il reste que tous ceux qui, à travers les siècles ont conduit cette inévitable méditation sur les mathématiques, sur leur nature et leur efficacité, c'est-à-dire sur nous-mêmes et le monde dont nous sommes parties prenantes, avaient le vif sentiment de s'approcher du réel et en ont éprouvé de la joie, ce qui est la fin de la philosophie. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 510.255-1 510.255-1 Livre interne BIBLIOTHEQUE CENTRALE Mathématique (bc) Disponible La révolution mathématique au XVIIe siècle / Évelyne Barbin
Titre : La révolution mathématique au XVIIe siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Évelyne Barbin, Auteur Editeur : Paris [France] : Ellipses Année de publication : 2006 Collection : IREM-histoire des mathématiques Importance : 335. p Présentation : ill.en coul Format : 24.cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-3144-8 Langues : Français Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Mathématiques Philosophie Europe 17e siècle Résumé : Dans un célèbre passage, Galilée écrit : La philosophie est écrite dans ce livre immense perpétuellement ouvert devant nos yeux (je veux dire l'univers), mais on ne peut le comprendre si l'on n'apprend pas d'abord à connaître la langue et les caractères dans lesquels il est écrit. Il est écrit en langue mathématique et ses caractères sont des triangles, des cercles et d'autres figures géométriques, sans l'intermédiaire desquels il est humainement impossible d'en comprendre un seul mot. Cet ouvrage propose une histoire de la révolution mathématique du XVIIe siècle, à l'intérieur de laquelle de nouvelles mathématiques ont été construites et la nature a été construite en termes mathématiques. A partir des années 1620, la science poursuit de nouveaux buts, il ne s'agit plus seulement de spéculer mais d'inventer, de résoudre des problèmes, de progresser et de maîtriser la nature. Le scientifique construit une réalité du monde à l'image de celle du monde technique, une réalité faite de quantités régies par des lois. C'est ainsi que les mathématiques vont remplacer la logique aristotélicienne dans l'étude de la nature. Les mathématiques ne sont plus purement spéculatives, mais elles sont inscrites dans la réalité du monde, elles permettent une compréhension de la réalité et une action sur elle. Ce nouveau statut appelle une transformation des mathématiques, de leurs méthodes, de leurs objets et de leurs significations. Les courbes sont les premières à être modifiées par ce nouvel enjeu. L'invention du courbe dans les années 1630-1640 désigne sans nul doute le trait le plus important de la "révolution mathématique du XVIIe siècle". L'objet de cet ouvrage est la révolution mathématique du XVIIe siècle, non pas celle que nous pourrions définir, caractériser, décréter, à partir de cadres ou de théories a priori, mais la révolution que les acteurs mêmes disent vouloir ou non accomplir, la révolution de Bacon, Descartes Galilée, Roberval, Fermat, Pascal, Huygens, Leibniz, Newton et quelques autres. La révolution mathématique au XVIIe siècle [texte imprimé] / Évelyne Barbin, Auteur . - Paris (France) : Ellipses, 2006 . - 335. p : ill.en coul ; 24.cm. - (IREM-histoire des mathématiques) .
ISBN : 978-2-7298-3144-8
Langues : Français
Catégories : MATH:510 Generalites,dictionnaire,seminaire,proceeding Mots-clés : Mathématiques Philosophie Europe 17e siècle Résumé : Dans un célèbre passage, Galilée écrit : La philosophie est écrite dans ce livre immense perpétuellement ouvert devant nos yeux (je veux dire l'univers), mais on ne peut le comprendre si l'on n'apprend pas d'abord à connaître la langue et les caractères dans lesquels il est écrit. Il est écrit en langue mathématique et ses caractères sont des triangles, des cercles et d'autres figures géométriques, sans l'intermédiaire desquels il est humainement impossible d'en comprendre un seul mot. Cet ouvrage propose une histoire de la révolution mathématique du XVIIe siècle, à l'intérieur de laquelle de nouvelles mathématiques ont été construites et la nature a été construite en termes mathématiques. A partir des années 1620, la science poursuit de nouveaux buts, il ne s'agit plus seulement de spéculer mais d'inventer, de résoudre des problèmes, de progresser et de maîtriser la nature. Le scientifique construit une réalité du monde à l'image de celle du monde technique, une réalité faite de quantités régies par des lois. C'est ainsi que les mathématiques vont remplacer la logique aristotélicienne dans l'étude de la nature. Les mathématiques ne sont plus purement spéculatives, mais elles sont inscrites dans la réalité du monde, elles permettent une compréhension de la réalité et une action sur elle. Ce nouveau statut appelle une transformation des mathématiques, de leurs méthodes, de leurs objets et de leurs significations. Les courbes sont les premières à être modifiées par ce nouvel enjeu. L'invention du courbe dans les années 1630-1640 désigne sans nul doute le trait le plus important de la "révolution mathématique du XVIIe siècle". L'objet de cet ouvrage est la révolution mathématique du XVIIe siècle, non pas celle que nous pourrions définir, caractériser, décréter, à partir de cadres ou de théories a priori, mais la révolution que les acteurs mêmes disent vouloir ou non accomplir, la révolution de Bacon, Descartes Galilée, Roberval, Fermat, Pascal, Huygens, Leibniz, Newton et quelques autres. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 510.46-1 510.46-1 Livre interne BIBLIOTHEQUE CENTRALE Mathématique (bc) Disponible 510.1-4-1 510.1-4-1 Livre externe BIBLIOTHEQUE DE FACULTE DES SCIENCES Mathématique (SCI) Disponible