Titre : | Contribution à l'étude de quelques mésoparasites sur des élevages caprins et ovins dans la région de Laghouat | Type de document : | texte manuscrit | Auteurs : | Mimouna Mechraoui, Auteur ; Rabab Rezigui, Auteur ; Mourad Becheur, Directeur de thèse | Editeur : | Laghouat : Université Amar Telidji - Département de biologie | Année de publication : | 2017 | Importance : | 78 p. | Format : | 30 cm. | Accompagnement : | 1 disque optique numérique (CD-ROM) | Note générale : | Option : Parasitologie et interactions négatives | Langues : | Français | Mots-clés : | Mésoparasites Ovins Caprins Prévalence Intensité Laghouat | Résumé : | L’objectif du présent travail a été la recherche de mésoparasites sur des élevages ovins et caprins dans la région de Laghouat, ainsi que l’étude de la relation entre les prévalences de ces parasites avec certains facteurs, qui sont l’âge, le sexe et la race. Notre étude a été effectuée sur une période de 3 mois (Janvier, Février et Mars 2017) sur 111échantillons de matières fécales, prélevées à partir de 61 caprins et 50 ovins. A cet effet, nous avons utilisé différentes méthodes telles que l’examen direct, la méthode de flottation, la méthode de sédimentation, la technique de coloration de Ziehl – Neelsen modifiée et la technique de Mac Master pour l’identification et le comptage quantitatif des œufs de parasites.
Les prévalences parasitaires générales étaient de 52% pour les ovins et 44,26% pour les caprins.L’examen coproscopique a permis la mise en évidence de plusieurs types de mésoparasites ; pour l’espèce ovine, on a pu noter la présence de: Nématodirus spp. (32%), Cryptosporidium spp. (28%),Eiemeria spp. (22%), Giardia spp. (12%), Trichostrongylus spp. (10%)et Strongyloides spp. (2%). La quantification des parasites observés nous a donné une intensité moyenne de 596,87±175,56 opg pour Nématodirus spp, 410,00±171,03 opg pour Trichostrongylus spp,600,00±230,22 opg pour Eimeria spp 400,00±214,48 opg pour Giardia spp.Concernant l’espèce caprine, on a pu enregistrer les prévalences suivantes :Cryptosporidiumspp. (27,87%), Giardia spp. (18,03%), Nématodirus spp. (13,11%), Eiemeriaspp. (13,11%), Strongyloides spp. (3,28%) et enfin Trichuris spp. Et Moniezia spp. avec un taux de 1,64% pour chacun. L’intensité moyenne a été de 587,50±91,61opg pour Nématodirus spp, 550,00±133,63opg pour Eimeria spp, 363,64±63,60 opg pour Giardia spp et 375,00±35,35 opg pour Strongyloides spp.
L’étude statistique de l’influence des facteurs de variation (sexe, âge et race) sur la prévalence générale et sur les fréquences des parasites observés n’a révélé aucun effet significatif (p˃0,05), aussi bien chez les ovins que chez les caprins.
En général, il n’y avait pas d’effet significatif du sexe, de l’âge ni de la race sur les prévalences parasitaires enregistrées chez les ovins et caprins de notre étude.Les prévalences et intensités parasitaires enregistrées, même si elles étaient modérées, doivent être prises au sérieux pour éviter leurs effets préjudiciables sur la santé et la rentabilité de nos cheptels. | note de thèses : | Mémoire de master en sciences biologiques |
Contribution à l'étude de quelques mésoparasites sur des élevages caprins et ovins dans la région de Laghouat [texte manuscrit] / Mimouna Mechraoui, Auteur ; Rabab Rezigui, Auteur ; Mourad Becheur, Directeur de thèse . - Laghouat : Université Amar Telidji - Département de biologie, 2017 . - 78 p. ; 30 cm. + 1 disque optique numérique (CD-ROM). Option : Parasitologie et interactions négatives Langues : Français Mots-clés : | Mésoparasites Ovins Caprins Prévalence Intensité Laghouat | Résumé : | L’objectif du présent travail a été la recherche de mésoparasites sur des élevages ovins et caprins dans la région de Laghouat, ainsi que l’étude de la relation entre les prévalences de ces parasites avec certains facteurs, qui sont l’âge, le sexe et la race. Notre étude a été effectuée sur une période de 3 mois (Janvier, Février et Mars 2017) sur 111échantillons de matières fécales, prélevées à partir de 61 caprins et 50 ovins. A cet effet, nous avons utilisé différentes méthodes telles que l’examen direct, la méthode de flottation, la méthode de sédimentation, la technique de coloration de Ziehl – Neelsen modifiée et la technique de Mac Master pour l’identification et le comptage quantitatif des œufs de parasites.
Les prévalences parasitaires générales étaient de 52% pour les ovins et 44,26% pour les caprins.L’examen coproscopique a permis la mise en évidence de plusieurs types de mésoparasites ; pour l’espèce ovine, on a pu noter la présence de: Nématodirus spp. (32%), Cryptosporidium spp. (28%),Eiemeria spp. (22%), Giardia spp. (12%), Trichostrongylus spp. (10%)et Strongyloides spp. (2%). La quantification des parasites observés nous a donné une intensité moyenne de 596,87±175,56 opg pour Nématodirus spp, 410,00±171,03 opg pour Trichostrongylus spp,600,00±230,22 opg pour Eimeria spp 400,00±214,48 opg pour Giardia spp.Concernant l’espèce caprine, on a pu enregistrer les prévalences suivantes :Cryptosporidiumspp. (27,87%), Giardia spp. (18,03%), Nématodirus spp. (13,11%), Eiemeriaspp. (13,11%), Strongyloides spp. (3,28%) et enfin Trichuris spp. Et Moniezia spp. avec un taux de 1,64% pour chacun. L’intensité moyenne a été de 587,50±91,61opg pour Nématodirus spp, 550,00±133,63opg pour Eimeria spp, 363,64±63,60 opg pour Giardia spp et 375,00±35,35 opg pour Strongyloides spp.
L’étude statistique de l’influence des facteurs de variation (sexe, âge et race) sur la prévalence générale et sur les fréquences des parasites observés n’a révélé aucun effet significatif (p˃0,05), aussi bien chez les ovins que chez les caprins.
En général, il n’y avait pas d’effet significatif du sexe, de l’âge ni de la race sur les prévalences parasitaires enregistrées chez les ovins et caprins de notre étude.Les prévalences et intensités parasitaires enregistrées, même si elles étaient modérées, doivent être prises au sérieux pour éviter leurs effets préjudiciables sur la santé et la rentabilité de nos cheptels. | note de thèses : | Mémoire de master en sciences biologiques |
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