Catalogue des ouvrages Université de Laghouat
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Détail de l'auteur
Auteur Lawrence E Mitchell
Documents disponibles écrits par cet auteur



La firme irresponsable / Lawrence E Mitchell
Titre : La firme irresponsable Type de document : texte imprimé Auteurs : Lawrence E Mitchell, Auteur ; Pierre Rimbaut, Traducteur Editeur : Paris : Économica Année de publication : 2003 Collection : Collection Gestion Sous-collection : Série Politique générale, finance et marketing Importance : 267 p. Présentation : couv. ill. Format : 24cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-4738-3 Langues : Français Catégories : ECONOMIE:338 micro-economie Mots-clés : Sociétés anonymes Pratiques déloyales Éthique des affaires Industrie Aspect social États-Unis Résumé : La société anonyme (corporation) est, de par sa structure et la législation en vigueur, trop souvent obsédée par les bénéfices à court terme réclamés par ses actionnaires, au point de négliger les intérêts de ses employés, des consommateurs, de l'environnement et de la société américaine. Elle met ainsi en danger l'extraordinaire prospérité qu'elle a contribué à créer. Le problème ne concerne pas seulement les Etats-Unis, car le " modèle " américain est de plus en plus exporté vers les autres pays, par le biais des marchés financiers dominés par les capitaux américains. Mitchell analyse l'origine et le mécanisme de cette aberration, néfaste pour la vie économique et sociale des Etats-Unis, et propose des remèdes. Les manageurs devraient recouvrer la faculté de faire ce qu'ils savent faire gérer une entreprise, sans être soumis à la tyrannie du court terme et du bénéfice trimestriel par action. Dans une démarche qui invoque Aristote aussi bien qu'Adam Smith, cet ancien avocat d'affaires, aujourd'hui professeur de droit, montre à quel point le comportement irresponsable des corporations est une déformation des valeurs de liberté individuelle et d'autonomie qui sont le fondement de la société américaine qu'elles prétendent incarner. Cet ouvrage intéressera tous ceux qui s'inquiètent des excès du capitalisme révélés par les désastreuses " affaires " Enron, WorldCom et autres Vivendi, et de l'emprise grandissante de la finance sur ce qu'il est convenu d'appeler l'économie réelle. La firme irresponsable [texte imprimé] / Lawrence E Mitchell, Auteur ; Pierre Rimbaut, Traducteur . - Paris : Économica, 2003 . - 267 p. : couv. ill. ; 24cm.. - (Collection Gestion. Série Politique générale, finance et marketing) .
ISBN : 978-2-7178-4738-3
Langues : Français
Catégories : ECONOMIE:338 micro-economie Mots-clés : Sociétés anonymes Pratiques déloyales Éthique des affaires Industrie Aspect social États-Unis Résumé : La société anonyme (corporation) est, de par sa structure et la législation en vigueur, trop souvent obsédée par les bénéfices à court terme réclamés par ses actionnaires, au point de négliger les intérêts de ses employés, des consommateurs, de l'environnement et de la société américaine. Elle met ainsi en danger l'extraordinaire prospérité qu'elle a contribué à créer. Le problème ne concerne pas seulement les Etats-Unis, car le " modèle " américain est de plus en plus exporté vers les autres pays, par le biais des marchés financiers dominés par les capitaux américains. Mitchell analyse l'origine et le mécanisme de cette aberration, néfaste pour la vie économique et sociale des Etats-Unis, et propose des remèdes. Les manageurs devraient recouvrer la faculté de faire ce qu'ils savent faire gérer une entreprise, sans être soumis à la tyrannie du court terme et du bénéfice trimestriel par action. Dans une démarche qui invoque Aristote aussi bien qu'Adam Smith, cet ancien avocat d'affaires, aujourd'hui professeur de droit, montre à quel point le comportement irresponsable des corporations est une déformation des valeurs de liberté individuelle et d'autonomie qui sont le fondement de la société américaine qu'elles prétendent incarner. Cet ouvrage intéressera tous ceux qui s'inquiètent des excès du capitalisme révélés par les désastreuses " affaires " Enron, WorldCom et autres Vivendi, et de l'emprise grandissante de la finance sur ce qu'il est convenu d'appeler l'économie réelle. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 338.64-1 338.64-1 Livre interne BIBLIOTHEQUE CENTRALE Economie (bc) Disponible 338.64.01-01 338.64.01-01 Livre interne BIBLIOTHEQUE DE GESTION ET SCIENCES ECONOMIQUES Economie (ECO) Disponible 338.64.01-02 338.64.01-02 Livre d'enseignant SALLE DES ENSEIGNANTS (bibliothéque d'économie) Economie (SEE) Disponible La firme irresponsable / Lawrence E Mitchell
Titre : La firme irresponsable Type de document : texte imprimé Auteurs : Lawrence E Mitchell, Auteur ; Pierre Rimbaut, Traducteur Editeur : Paris : Économica Année de publication : 2003 Collection : Collection Gestion. Série Politique générale, finance et marketing Importance : 267 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2717847983 Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français Catégories : ECONOMIE:338 micro-economie Mots-clés : Sociétés anonymes -- Pratiques déloyales -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujet
Éthique des affaires -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujet
Industrie -- Aspect social -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujetRésumé : La société anonyme (corporation) est, de par sa structure et la législation en vigueur, trop souvent obsédée par les bénéfices à court terme réclamés par ses actionnaires, au point de négliger les intérêts de ses employés, des consommateurs, de l'environnement et de la société américaine. Elle met ainsi en danger l'extraordinaire prospérité qu'elle a contribué à créer. Le problème ne concerne pas seulement les Etats-Unis, car le " modèle " américain est de plus en plus exporté vers les autres pays, par le biais des marchés financiers dominés par les capitaux américains. Mitchell analyse l'origine et le mécanisme de cette aberration, néfaste pour la vie économique et sociale des Etats-Unis, et propose des remèdes. Les manageurs devraient recouvrer la faculté de faire ce qu'ils savent faire gérer une entreprise, sans être soumis à la tyrannie du court terme et du bénéfice trimestriel par action. Dans une démarche qui invoque Aristote aussi bien qu'Adam Smith, cet ancien avocat d'affaires, aujourd'hui professeur de droit, montre à quel point le comportement irresponsable des corporations est une déformation des valeurs de liberté individuelle et d'autonomie qui sont le fondement de la société américaine qu'elles prétendent incarner. Cet ouvrage intéressera tous ceux qui s'inquiètent des excès du capitalisme révélés par les désastreuses " affaires " Enron, WorldCom et autres Vivendi, et de l'emprise grandissante de la finance sur ce qu'il est convenu d'appeler l'économie réelle La firme irresponsable [texte imprimé] / Lawrence E Mitchell, Auteur ; Pierre Rimbaut, Traducteur . - Paris : Économica, 2003 . - 267 p. : couv. ill. ; 24 cm.. - (Collection Gestion. Série Politique générale, finance et marketing) .
ISSN : 2717847983
Notes bibliogr.
Langues : Français
Catégories : ECONOMIE:338 micro-economie Mots-clés : Sociétés anonymes -- Pratiques déloyales -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujet
Éthique des affaires -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujet
Industrie -- Aspect social -- États-Unis Voir les notices liées en tant que sujetRésumé : La société anonyme (corporation) est, de par sa structure et la législation en vigueur, trop souvent obsédée par les bénéfices à court terme réclamés par ses actionnaires, au point de négliger les intérêts de ses employés, des consommateurs, de l'environnement et de la société américaine. Elle met ainsi en danger l'extraordinaire prospérité qu'elle a contribué à créer. Le problème ne concerne pas seulement les Etats-Unis, car le " modèle " américain est de plus en plus exporté vers les autres pays, par le biais des marchés financiers dominés par les capitaux américains. Mitchell analyse l'origine et le mécanisme de cette aberration, néfaste pour la vie économique et sociale des Etats-Unis, et propose des remèdes. Les manageurs devraient recouvrer la faculté de faire ce qu'ils savent faire gérer une entreprise, sans être soumis à la tyrannie du court terme et du bénéfice trimestriel par action. Dans une démarche qui invoque Aristote aussi bien qu'Adam Smith, cet ancien avocat d'affaires, aujourd'hui professeur de droit, montre à quel point le comportement irresponsable des corporations est une déformation des valeurs de liberté individuelle et d'autonomie qui sont le fondement de la société américaine qu'elles prétendent incarner. Cet ouvrage intéressera tous ceux qui s'inquiètent des excès du capitalisme révélés par les désastreuses " affaires " Enron, WorldCom et autres Vivendi, et de l'emprise grandissante de la finance sur ce qu'il est convenu d'appeler l'économie réelle